de Stéphanie Delecroix, publié le 5 juillet 2019
Résumé
Les Black Wolves ont un nouveau président : Judas. Redouté pour son caractère de feu, il n’hésite pas à outrepasser les règles pour protéger ceux dont il a la charge. Il se contente de la loyauté de ses membres, bannissant tout autre sentiment. Quel lourd secret peut bien cacher un homme qui semble ne rien avoir à perdre ?
Juliette poursuit ses études universitaires à contre-cœur afin de ne pas décevoir ses parents. Ivre de rapidité, de courses de voitures, et d’adrénaline, certains soirs, la jeune femme troque son costume d’étudiante parfaite contre celle d’un pilote de course. Mais dans un coin de son esprit, elle ne parvient pas à oublier Judas et la promesse qu’elle s’est faite de lui faire payer l’affront qu’il lui a fait quelques mois auparavant. C’est au cours d’un pari qu’elle se retrouve dans le bar de ce dernier, bien décidée à lui faire passer l’envie de se moquer d’elle !
Mon avis
Juliette est désormais une belle jeune femme, digne héritière des gênes de ses parents, aussi tempétueuse, déjantée et sans filtre qu’Angel mais avec un côté plus en retenue comme Soan.
Elle poursuit ses études dans la finance pour reprendre les affaires familiales chez Epona Inc. et surtout pour faire plaisir à ses parents, car de son côté, elle aimerait qu’il la laisse respirer et qu’il soit moins sur son dos.
Elle aussi a l’adrénaline et la vitesse dans le sang et ses courses de voiture loin d’être légales et qu’elle fait en cachette de ses parents, la font vibrer et se sentir vivante.
Mais elle n’avait pas prévu de voir sa vie bouleversée en croisant le chemin d’un sombre bad boy au cuir marqué d’un loup hurlant à la lune chevauchant une superbe Harley.
Lui, c’est Judas, vous savez, ce gamin perturbé sauvage et complexe qu’on avait entraperçu dans le tome précédent avec Jason, qui rêvait de devenir président des Black Wolves.
Et bien, après le départ de Jason pour un autre chapitre, c’est chose faite, il a bien grandi et a repris le flambeau d’une main de maître et il a su trouver sa place, s’imposer, se faire craindre et respecter de ses frères.
Mais derrière ce caractère impulsif et enragé, il a l’air de cacher un lourd secret qui le ronge…
L’un comme l’autre, ils n’ont peur de rien et ne sont pas du genre à se faire dicter leur conduite.
Alors quand Judas va venir provoquer la belle Juliette sur son territoire, elle n’aura plus qu’un seul objectif, le retrouver pour lui prouver qu’on ne se joue pas d’elle.
Mais ils sont deux à aimer jouer et même si ses parents lui ont interdit d’approcher les Black Wolves, elle ne pourra pas résister à le provoquer dans son club.
Et le jeu va devenir beaucoup plus…
Ils ne devraient pas se connaître et pourtant…
Ils ne devraient pas se parler et pourtant…
Ils ne devraient être attirés et troublés et pourtant…
C’est vers lui qu’elle va se retourner quand elle se sentira en danger.
Et c’est auprès d’elle qu’il va s’attendrir car il ne pourra pas s’empêcher de vouloir la protéger.
L’interdit a toujours attiré…encore plus pour des têtes brûlées comme Juliette et Judas.
Et ne dit-on pas que le meilleur moyen de se délivrer d’une tentation est d’y céder…
Mais encore faut-il qu’on les laisse faire!!!
Et savent-ils vraiment qui ils doivent affronter….ils font partie d’un milieu dangereux, violent et sans limite alors pas sûr que tout le monde en sorte indemne…
Un tome sombre, suffocant, intrigant, addictif et prenant qui défile à toute vitesse, comme si vous étiez embarqués dans la superbe Dodge Charger de Juliette, que vous fonciez sur le bitume et que vous preniez des émotions plein la figure.
Une rencontre explosive.
Une relation interdite.
Une irrésistible alchimie.
Une intense sensualité.
Un amour vrai.
Un danger permanent.
Un clan, une famille, toujours présents.
Mais des ennemis prêts à tout…
Euh…Stéphanie, on en parle de cette fin là!!!!C’est juste pas possible…encore plus quand tu n’as pas le tome 5 de Juliette dans les mains…GRRRRRR…
PS : toujours un délice cette complicité et ces échanges plein de tension entre Angel et son homme, j’adore…
#Emilie